Bienvenuesur les BD du Chat Noir. Ce blog est destiné aux amateurs de bandes dessinées en tout genre. Ils s'agit tant de mettre en avant des coups de coeurs que de faire un éclairage spécifique sur une oeuvre ou l'actualité. Ce blog est né de la volonté de partager ma passion pour le neuvième art. A l'heure où la bande dessinée voit Accepterles cookies. Cookies Paramètres. Centre de préférence des cookies x. Cookies strictement nécessaire Plus d'information; Cookies strictement nécessaire. Toujours actif. Ces cookies sont nécessaires pour le site de fonctionner et ne peuvent pas être éteints dans nos systèmes. Ils sont généralement fixés en réponse aux actions faites par vous dont le Secondcas. Vous cousez un projet type accessoire toujours, mais le projet ne sera pas doublé ni entoilé. Première possibilité, vous vous mettez du côté du droit-fil largeur c’est à dire vous placez la flèche de droit fil parallèlement à la laize (ou largeur) du tissu, donc à 90° de la lisère. Et là vous vérifiez si vos motifs 21h30: Le fils de l’ancienne cheffe des renseignements dans les Hautes-Alpes a été mis en examen pour “meurtre sur ascendant” par le juge d’instruction du pôle criminel de Grenoble. Lesdébuts de Schmeichel Jr dans les buts danois, à 26 ans, en février 2013, ont pourtant pu faire douter ceux qui avaient vu jouer l'ancien portier de Manchester United: "Une catastrophe", avaient résumé les journalistes danois à l'époque, après les trois buts encaissés par Kasper en Macédoine lors de ses 25 premières minutes d'international 16LWk. Huit jurons et une femme nue. Voilà à quoi est réduit par une école aux Etats-Unis Maus », le chef-d’œuvre dans lequel Art Spiegelman décrit comment ses parents ont survécu aux camps de la mort. Dans ce roman graphique, les juifs sont les souris, les Polonais des cochons et les nazis - dont la pratique du bannissement de livres et de l’autodafé crée un parallèle embarrassant aujourd’hui - sont des chats. Faisant mentir l’idée reçue que la BD est un art populaire de mauvaise qualité, le livre avait été bardé de prix littéraires, jusqu’au prix Pulitzer en 1992. Un palmarès, qui, manifestement, n’a pas plus ému que ça le conseil d’administration de cette école du Tennessee, qui a tranché, à l’unanimité, en faveur de sa suppression des programmes de classes de 4e. En cause ? Son utilisation de l’expression God Damn » putain » et des dessins de photos nues » de femmes, selon le procès-verbal d’une réunion survenue le 10 janvier, rapporté par The Tennessee Holler » et le Guardian ».Art Spiegelman Je n’ai plus envie d’illustrer d’histoires où il est question de juifs ou de souris » On trouve un langage grossier et répréhensible dans ce livre », déclare le directeur de l’école, Lee Parkison, en ouverture de la session dont l’absurdité n’est pas sans rappeler les meilleurs épisodes de South Park ». J’ai consulté notre avocat […] Nous avons décidé que la meilleure façon de corriger ou de gérer le langage de ce livre était de le caviarder […] pour nous débarrasser des huit jurons et de l’image de la femme ».La suite après la publicitéUn autre membre du conseil, Tony Allman, renchérit sur ce contenu vulgaire et inapproprié », faisant valoir que Nous n’avons pas besoin de promouvoir ce genre de choses ». Je ne nie pas que c’était horrible, brutal et cruel », déclare Allman en référence au meurtre de six millions de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais voilà On y voit des gens pendus, des gens en train de tuer des enfants, pourquoi le système éducatif promeut-il ce genre de choses ? Ce n’est ni sage ni sain ». Et Allman d’étaler sa science en génocide comme en illustration Je me trompe peut-être, mais ce gars a bossé pour Playboy ». Spiegelman a bien publié des BD dans Playboy » dans les années 1980, bien que ceci nous semble furieusement hors sujet. Pour Allman, c’est un motif d’indignation supplémentaire Nous le laissons dessiner dans des livres pour des élèves de primaire ».Siégeant également au conseil, Mike Cochran va dans le même sens, s’étonnant particulièrement de la scène de suicide [la mère d’Art Spiegelman s’est donné la mort quand il avait 20 ans, Nous parlons d’enseigner l’éthique à nos enfants, et cela commence par une conversation entre le père et le fils à propos du moment où le père a perdu sa virginité. Ce n’est pas explicite mais c’est là-dedans. On voit des photos de nu, le rasoir, la lame avec laquelle la maman se coupe. Tu la vois allongée une mare de son propre sang. […] Quand je l’ai lu, j’ai trouvé que c’était un livre correct jusqu’à la fin. Enfin, j’ai trouvé la fin stupide, si je suis totalement honnête. Beaucoup de jurons viennent du fils qui insulte son père, donc je ne pense pas que ça enseigne quoi que ce soit d’éthique à nos enfants. C’est même l’opposé, au lieu de traiter son père avec respect, il traite son père comme s’il était la victime. Nous n’avons pas besoin de ça pour enseigner l’Histoire à nos enfants. […] Nous pouvons leur dire exactement ce qui s’est passé, mais nous n’avons pas besoin de la nudité et tout ça. Ce n’est pas comme si c’était le seul livre existant. » Bien que Julie Goodin, directrice adjointe présente à cette réunion, tente de nuancer les propos de ses collègues Je peux parler d’Histoire, j’étais professeur d’histoire et il n’y a rien de joli dans l’Holocauste et pour moi, c’est une excellente façon de dépeindre une période horrible de l’Histoire », le conseil décide de voter pour l’interdiction pure et dure du roman graphique de leur établissement, qui a ceci de pratique qu’il évite les problèmes liés au droit d’auteur que pose le AUSSI > Art Spiegelman dit tout sur Maus »La suite après la publicité Le Tennessee est manifestement fou »Dans une interview à CNBC mercredi, Art Spiegelman s’est dit totalement déconcerté ». J’en reste bouche bée », a déclaré l’auteur de 73 ans, estimant la décision du conseil d’administration orwellienne ». J’ai rencontré tellement de jeunes qui ont appris des choses grâce à mon livre », a-t-il ajouté. Puis Je comprends aussi que le Tennessee est manifestement fou. Il se passe quelque chose de très, très détraqué là-bas. »Sur Twitter, l’auteur Neil Gailman est encore plus direct Il n’existe qu’un seul type de personnes capables d’interdire Maus, quel que soit le nom qu’ils se donnent ces jours-ci ». L’écrivain Yair Rosenberg a pour sa part écrit Un conseil d’administration d’une école du Tennessee a voté l’interdiction du roman graphique Maus, lauréat du prix Pulitzer qui raconte l’Holocauste avec des dessins de souris, parce qu’on y trouvait des mots et des images inappropriés. Je leur souhaite bonne chance dans leur quête d’un contenu sain et familial sur l’Holocauste ». Le propriétaire d’une librairie s’est quant à lui proposé d’offrir des exemplaires de Maus » aux familles qui vivraient dans le secteur de l’école en AUSSI > Comment la BD a montré la ShoahCette triste nouvelle survient alors que, sous l’impulsion de groupes conservateurs, les campagnes d’interdiction d’ouvrages portant sur le racisme ou la communauté LGBTQ + s’intensifient aux Etats-Unis. Pendant ce temps, on célèbre ce 27 janvier le 77e anniversaire de la libération des camps d’Auschwitz. "Le poids des héros" - David SalaC'est un portrait omniprésent. Celui d'un homme aux traits fins, cheveux courts, laissant deviner un large front. Dans les premières planches, Antonio Sotto de Torrado apparaît jeune, le regard dans le vague. Sur son lit d'hôpital, le visage est émacié. Il a les yeux de celui qui sait sa fin proche. Suspendu à une corde, les yeux creusés, on y lit la souffrance. Sur le tableau qui trône dans le salon des parents de David Sala, son regard est "perdu, d'une tristesse terrible." Le poids des héros Planche Ed. Casterman La toile cachée sous terre pendant des années fut récupérée à la libération du camp en 1945 Chez les Sala dans les années 70, on écoutait du Ferré, du Brel, du Brassens. Au milieu de couleurs flamboyantes de l'époque, entre les vêtements et les tapisseries, David Sala raconte son enfance et à travers elle, les figures qui l'ont fait homme. Son grand-père maternel a dû fuir l'Espagne de Franco qui passa 4 ans à Mathausen. Son grand-père paternel fut lui aussi obligé de fuir l'Espagne, il sera résistant en France. Sa mère sera celle qui transmet. Au milieu de toutes ces figures David Sala, l'enfant et l'adulte, en est le dépositaire. Cette histoire est donc la sienne et le dessin sera sa façon à lui, de la raconter, de la digérer. Le poids des héros Planche Lorsque vous écrivez un livre sur l'horreur de la guerre, vous ne dénoncez pas l'horreur, vous vous en débarrassez Romain Gary A l'histoire en noir et blanc qu'il découvre à travers les photos et les documents d'époque, il répond par des couleurs vives. Une fois la planche dessinée, il appose ses peintures, sans retouches. Le poids des héros Planche Il y a du Chagall, du Klimt, du O'Keefe dans certaines de ses planches. Le poids des héros est un éblouissement permanent comme l'était déjà Le Joueur d'échec en 2017, qu'il avait adapté du livre de Stefan Zweig, David Sala est bien plusse qu'un auteur de BD. C'est un peintre écrivain. David Sala solde les comptes sur les figures tutélaires de sa famille. Il les laisse partir en dessins et dans un murmure, il leur dit Nous nous sommes tant aimés. Le Poids des héros chez Casterman. "Les Etoiles s'éteignent à l'aube" de Vincent Turhan, adapté du roman de Richard Wagamese Les étoiles s'éteignent à l'aube Couv. Ed. Sarbacane Que peut bien dire vous, un père qui ne vous a pas élevé ? Franklin Starlight ne s'est jamais posé la question. Barry l'homme qui l'a élevé, est un homme bon. Son père, Eldon, est un bon à rien, alcoolique. Franklin aide Barry à la ferme. Ils vivent dans les grands espaces boisés canadiens. Ce jour là, il quitte Barry pour rejoindre son père à la ville, qui le réclame à son chevet. Il y a une ligne de crête face à l'Est. J'aimerais que tu m'y enterres Les étoiles s'éteignent à l'aube Planche Ed. Sarbacane Eldon veut être enterré comme un guerrier, lui le sang-mêlé, issu d'une famille moitié indienne, moitié écossaise. "T'es pas un guerrier", lui répond le fils, qui malgré tout, va accepter la dernière volonté de son géniteur. Le périple durera plusieurs jours, à cheval, à pied, sous la pluie, au milieu de la nature pastel brossée de Vincent Tuhran. Entre métaphore et symbole, le père et le fils, l'ascension vers l'au-delà de la montagne. Eldon n'a pas toujours été un bon à rien. Il a été le fils aimant d'une mère veuve qui fut ensuite battue par son amant. Il a été l'adulte qui aima la mère de Franklin, mais qui n'a jamais pu se défaire de la tragédie qui l'a obligé à quitter sa mère à lui. Ce temps là est le temps des hommes, de ce qu'ils ont à se dire pour se quitter en paix. Les Etoiles s'éteignent à l'aube chez Sarbacane. Dans les Pas du Fils Prix public 17,50 € Paru le 20 Janvier 2021 Album BD de la Série Dans les Pas du Fils Dessin Clémentine Fourcade Scénario Clémentine Fourcade D'après Tom François , Renaud François Editeur CALMANN-LEVY Collection CALMANN-LEVY GRAPHIC Genre Documentaire-Encyclopédie Public Ados-Adultes EAN 9782702182161 Album BD en couleur, Couverture Souple avec Rabats En mm largeur 211, hauteur 281, épaisseur 16 168 pages Ce qu'en dit l'éditeur ..... Entre Renaud et son fils Tom, c’est l’incompréhension. À 17 ans, l’adolescent semble glisser sur une mauvaise pente échec scolaire, violence, drogue...Convaincu que son fils doit rompre avec son environnement toxique, Renaud lui propose une aventure extraordinaire la traversée à cheval des steppes du pour Tom, ce voyage est loin d’être une épopée fantastique. Les années d’absence de son père sont autant de colère accumulée qui ne demande qu’à exploser. Pendant trois mois, ils auront chacun un objectif. Pour Renaud, celui d’aller à la rencontre de son fils. Et pour Tom, de découvrir son père, mais aussi l’adulte qu’il veut devenir. Les internautes ont commandé avec ..... L'avis des .... Pas encore de critiques, soyez le premier à donner votre avis ! Cliquez ici pour mettre votre avis !!!! Ludwig Van Beethoven, un des plus grands compositeurs et un des plus grands maîtres de la musique classique, est mis en image par deux grands auteurs de bande dessinée, Régis Penet pour La boîte à Bulles et Mikaël Ross chez Dargaud. Beethoven – Le prix de la liberté 1806, Beethoven a 36 ans et vit chez son ami le Prince Lichnowsky. Sa surdité est de plus en plus importante et pourtant son génie explosera quelques années plus tard. Beethoven est un homme fier, libre, orgueilleux et indomptable. Mais c’est loin des fastes et du confort de la vie chez le prince qu’il va créer ses plus belles œuvres. Régis Penet nous décrit l’homme au delà du musicien. Il nous livre sa vie sans concession, sans filtre, sans jamais vouloir se plier aux injonctions, même des personnes qui lui sont le plus proche. Il préfère partir pour tout simplement rester en cohérence avec ses idées. Graphiquement, l’auteur nous gratifie de magnifiques dessins en noir et blanc qui traduisent à merveille les émotions et les sentiments des protagonistes. De plus en contant cette histoire à travers le prisme du regard du fils du prince, cela rend le récit encore plus fort.. Le noir et blanc est terriblement efficace pour ce roman graphique qui nous fait découvrir un homme qui n’a fait aucune concession durant toute sa vie. Une lecture instructive, engagée, au graphisme remarquable. À noter, la bande son de l’ouvrage est disponible en écoute sur Deezer. Ludwig et Beethoven À sept ans, Ludwig est déjà un prodige. Mais son père, alcoolique et un peu violent, n’a foi qu’en Mozart. Alors le jeune garçon NE doit PAS jouer ses propres compositions. Pourtant, quand il le fait, la musique inonde le monde avec douceur, comme une vague d’émotion qui déferle sur ceux qui l’écoutent. Du haut de son jeune âge, malgré, un fort caractère, il a encore bien des choses à apprendre. Pour devenir, Beethoven, il va devoir se construire lui-même, entre rencontres heureuses, déconvenues et histoires d’amour, Ludwig va petit à petit éclore aux yeux du monde. Vous connaissez, au moins de nom, Ludwig Van Beethoven le compositeur et pianiste allemand. Ou alors vous avez sûrement entendu l' »Ode à la joie » et le début de la 5ème Symphonie, le fameux pom pom pom pom ». C’est un mythe, un contemporain de Mozart et pourtant Mikaël Ross le rend humain à travers cette BD. Mikaël Ross est un auteur peu connu en France, pourtant il a écrit et dessiné le merveilleux Apprendre à tomber » qui se déroule à Neuerkerode dans un centre expérimental unique en Europe pour les handicapés mentaux. La musique classique, je n’aime pas !!! Beethoven de nom et encore !!! Vous n’avez pas besoin finalement d’être un féru de musique classique ou de ce musicien de génie pour aimer cette BD car, avant tout, elle nous montre le garçon qui grandit dans un cadre pas aussi simple que l’on peut croire. Un jeune homme qui se bat pour son avenir, pour devenir une figure incontournable de la musique classique. Un album à découvrir, un très grand plaisir de lecture, une très intelligente approche de l’auteur. Deux interprétations du grand Beethoven Un seul Ludwig Van Beethoven mais deux visions de ce compositeur de génie. Plus que deux visions, ce sont bien deux interprétations et deux parties de sa vie totalement différentes. Avec ces deux lectures, qui se croisent et se complètent, on en apprend plus sur l’enfant puis l’homme qu’il est devenu. Le traitement est différent concernant l’histoire et la scénarisation mais il l’est également en ce qui concerne la vision graphique. Là où Régis Penet choisit un noir et blanc très réaliste, Mikaël Ross, lui, a choisi l’explosion des couleurs avec des personnages plus figurés. Bref, deux très belle approches pour mieux connaître ce grand maître de la musique classique. Article posté le mardi 06 juillet 2021 par Yoann Debiais Ludwig et Beethoven Auteur et Dessinateur Mikaël Ross Éditeur Dargaud Prix 19,99 € Parution 04 juin 2021 ISBN 9782205088960 Résumé de l’éditeur Petit-fils et fils de musicien, mais un père alcoolique et endetté qui veut surtout tirer profit de ses talents. Une mère aimante qui meurt quand il a dix-sept ans. Un talent brut extraordinaire mais une prime éducation musicale lacunaire. Compositeur révolutionnaire atteint de surdité précoce… Tout, chez Ludwig van Beethoven, relève d’une extrême dualité, d’un destin au mieux compliqué, au pire contrarié. Mikael Ross cette jeunesse d’un génie avec une énergie folle et une vraie virtuosité. Beethoven – Le prix de la liberté Auteur et Dessinateur Régis Penet Éditeur La boîte à Bulles Prix 22 € Parution 19 Mai 2021 ISBN 9782849534014 Résumé de l’éditeur Dites aussi aux Français qu’il reste un homme en Autriche qui ne leur est pas soumis et qu’il ne porte aucun titre ! ». 1806, Beethoven a 36 ans et réside au palais du prince Alois von Lichnowsky, son ami et mécène, où il va nouer une amitié avec le jeune fils du prince, Eduard. C’est le temps des grandes conquêtes napoléoniennes et l’Autriche est désormais occupée par les troupes françaises. Pour montrer aux officiers français qu’il reçoit à dîner, ce que reste un prince d’Autriche », von Lichnowsky met un point d’honneur à ce que le compositeur joue devant ses hôtes. Mais Beethoven refuse de faire montre de son talent. Par insoumission, non seulement à l’égard des vainqueurs, ces serviteurs de la tyrannie » mais également à l’égard de son protecteur qui veut l’exhiber. Il est et restera un homme libre ! À travers le récit de cette journée particulière, Régis Penet fait oeuvre biographique et dresse un portrait saisissant de l’ours des salons » un génie sûr de son talent, indomptable et épris de liberté. Instructif, émouvant… tout simplement magnifique ! À propos de l'auteur de cet article Yoann Debiais Yoann Debiais est un amoureux de la bande dessinée depuis de nombreuses années. Le temps et les rencontres lui ont permis de s'ouvrir à des lectures plus humaines et plus profondes. Il partage sa passion sur Instagram sous le compte livressedesbulles. N'hésitez pas à découvrir son univers fait de partages. En savoir

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